Oser investir la Vie
Dans un monde toujours plus complexe et en continuel changement, nous cherchons une stabilité intérieure. Pourtant les évènements peuvent nous mettre en déséquilibre, notre égo résiste avant que l’esprit ne s’apaise pour ce qui est. Comment comprendre l’expérience au-delà des concepts, des notions, de la dualité ?
Quelles ressources avons-nous pour y faire face ? Comment négocier les situations de rupture ? Comment s’adapter sans se perdre ?
La vie est faite de déséquilibre et de moments de stabilité, qui à chaque fois sont remis en question et nous oblige à trouver des ressources pour retrouver cette stabilité.
C’est nous-mêmes qui cheminons, même si nous sommes accompagnés, tout part, émerge de nous-même avant de nous ouvrir aux autres.
Notre vie est faite de moments d’équilibre et de déséquilibre.
Pour vous, de quoi est faite la stabilité ?
Quelles sont les composantes de la stabilité ?
Quand nous disons « je suis quelqu’un de stable » ou « j’ai une situation stable », ou quand on regarde quelqu’un on est amené à dire « il a l’air stable » ou que nous regardons un mur et disons « il n’a pas l’air du tout stable ».
La stabilité est faite de :
- De déséquilibre qui permet de trouver la stabilité
- De sécurité, de poser les choses, d’être dans le connu, la plénitude, la connaissance, la capacité à s’ajuster, d’être dans un état intérieur d’accueil de ce qui vient, d’ouverture, de présence, d’ancrage, d’acceptation des évènements qui donne la stabilité, de gestion des émotions, de capacité à ne pas être en réaction, d’être en équilibre entre oser et s’ajuster à l’autre.
Vous pouvez répondre aux questions suivantes.
L’idée dans « Oser investir la vie » c’est se demander :
- Qu’est-ce que je fais de ce que je vis ?
- Quel sens je lui donne et quel courage ai-je pour aller au-delà de ce que j’éprouve des apparences et pense au-delà de mes limitations ?
- Comment je peux voir plus large, plus profond ?
- Comment je peux faire sens ? Comment je peux intégrer l’autre dans mon chemin sans lui imposer ma vision ?
L'homme regarde la fleur, la fleur lui sourit. Koan